Aucun discours, aucune parole,
Que l'indicible absence...
Se mêle à l'ennui
L'insupportable langueur,
Aux funérailles de mon cœur.
Une souffrance mal étouffée
Et l'ombre du coupable,
Pas de foule, pas d'éclats,
Soubresauts de mes pleurs
Aux funérailles de mon cœur.
Et la fosse de mon bonheur
Me sourit sinistrement,
Que j'y tombe éternellement...