[Poetry : Arnault de Stael]
[Music : Romarik d'Arvycendres]
L'édifice s'effondre
Et le ciel me condamne
A rejoindre la tombe
Que mes rêvent profanent
Je sombre dans l'étreinte enivrante du soir
Comme on noie dans l'absinthe le reflet d'un regard
Les flots lourds de la Seine
Accompagnent mes pas
Et le chant des sirènes
Me fait glisser vers toi
Elle s'élève lascive
Caressant les nuages
Puis d'un geste dérive
Pour éviter l'orage
Qu'elle amorce en moi
Réalité futile