Vivre dans l'ombre, mourir dans la lumière.
De se faire battre, mon coeur s'est arrêté.
Sans aucun regrets aucune pitié.
Mille saisons meurent et naissent.
De mes plus rudes printemps, à mes plus rudes hivers.
D'un âge nouveau, d'une nouvelle ère.
Par l'âge d'or de l'acier, plongé dans l'enfer.
Vengeance, victime.
Un remède à ma fuite.
Vivre libre sans se laisser mourir.
Les mots sont des armes.
Briseurs de rêves, amateur de cauchemars.
Dans un manteau de mort et de brouillard.
Et j'apprenais la patience nécessaire,
L'oubli obligatoire à mes espoirs.
D'un âge nouveau, d'une nouvelle ère.
Par l'âge d'or de l'acier, plongé dans l'enfer.
Mes maux sont mes armes.
Ma rancune ma rancoeur.
Mes maux sont mes armes.
Mes maux sont mes armes.
Transpercer, terrasser le démon à mes pieds.
Que les uns s'instruisent, que les autres détruisent.
Dissimuler les blessures qu'ils m'infligent, qui m'affligent.
Pensant à ce temps, je ne pensais plus à rien.
Mes maux sont mes armes.
Ma rancunes ma rancoeur.
Mes maux sont mes armes.
Mes maux sont mes armes.
Transpercer, terrasser le démon à mes pieds.